108 km, une belle etape en prevision d'un passage de frontiere toujours incertain. Bonne idee d'avoir force le train, car a peine apres 3 km le lendemain, un barrage de police qui oscille entre l'espoir et l'exasperation: notre visa indique que nous devons sortir a une autre frontiere situee a plus de 300 km, sachant que notre visa turkmene et notre droit d'entrer en Iran expire... aujourd'hui! Pas le droit de passer, il faut se faire 150 km en arriere pour demander une extension et oublier l'Iran... Marci Tania et Chinara (mes profs de russe), car sans parler russe, je ne suis pas sur qu'on soit sorti du traquenard, mais a force de pleurer - et montrer que dans 1 jour on etait sans visa pour ce pays et tous les pays limitrophes (donc comme des cons!)-, un coup de telephone dit qu'on peut passer, sans probleme. Et effectivement, sans probleme, mais pas sans douanier, car une fois a la frontiere, cela vire au burlesque (genre Louis de Funes), et Anne manque de peu le fou-rire. Chacun se la joue douanier et verifie - enfin ouvre- nos passeports, l'un des gardes se moque ouvertement de son collegue - qui ne respire guere l'intellignece c'est vrai!- et, cerise sur le passport, l'un des jeunots sense verifier nos bagages verifie... son teint dans le retro de Anne (tandis que l'autre moins jeune s'excite sur son klaxon)!! Au final, 1 bagage sur 9 est ouvert... et tout le monde a oublie que notre visa n'est pas fait pour sortir ici!!!
vendredi 31 octobre 2008
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