Des gros, des beaux, des p'tits, des laids...
Rien n'echappe a cet immense fatras de tout et de rien. Rien ni personne (et surtout pas moi) n'echappe a ce magnetisme mercantile et consumeriste teinte de cette violente poesie de l'amoncellement.
Quelle affreuse beaute que l'etalage de ces centaines de culottes, de sandales, de velos et de machines a laver. Quel kitch charmant que l'empilement de vestes, nappes cirees, selles de cheval et derailleurs.
Au final, je suis sorti de ce black market labyrinthique avec une roue de velo (ce pouquoi j'etais venu), mais j'aurais pu revenir avec tant d'autres choses...
jeudi 29 mai 2008
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2 commentaires:
Ah ben ça y est, le Seb il a déjà pété un truc sur son vélo... Bravo, hein !
et bah en fait non, repare... et depuis 10 jours, je me trimballe avec une roue excedentaire sur le porte bagage...
meme si cette roue m'a coute la somme exorbitante de 4 EUR, j'ai pas envie de la balancer tout de suite (elle servira le lendemain du jour ou je la balance, c'est sur!!!)
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