En changeant les plans du matin qui me conseillaient de prendre le bus puis le vélo pour monter au col de Porte, et grâce à un savant calcul dont Joel Colado m'envie la formule (merci M. Caplain), j'avais imaginé que les pistes du Sappey sera à point pour un entrainement du soir en véloski.
Ni une ni deux j'enfourche mon vélo en sortant du boulot pour une montée sous quelques gouttes de pluie (enfin j'imaginais quelques gouttes de pluie) et puis quelques flocons de neige (enfin, ...). Et j'imaginais 2 ou 3 montées sur les pistes du Sappey histoire de dégourdir les gambettes sur le futur terrain du Gambert...
Résultats des courses, des seaux d'eau sur la tête à la montée (petits seaux, mais seaux tout de même), de la neige sur la route à partir du col de Vence, des fringues mouillées avant même d'avoir chaussé les skis, un bon brassage dans 20 à 50 cm pour l'unique montée sur les pistes et une descente scabreuse en vélo sur la neige (forcément) et ensuite sous la pluie (forcément aussi) avant d'arriver à Grenoble avec les mains façon playmobil... (même effet qu'après une journée de kayak dans les Lofoten...).
Faut être clair, l'un des meilleurs moments de la soirée fut la douche chaude en rentrant à la maison, servie avec sa tasse de tisane par ma petite chérie... Avec mes 6 minutes de retard sur l'horaire prévu, voilà qu'elle s'inquiétait elle aussi... N'est pas non plus qui veut Mme Horn!
1 commentaire:
T'es completement cingle...
Cela dit, j'aime beaucoup la photo du velo !
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